Identique au précédent, cet amendement vise à aller au-delà de ce que prévoit l'article 7, en ouvrant à des techniciens certains actes vétérinaires. En effet, dans les zones d'élevage, les vétérinaires ne sont pas assez nombreux, au point qu'en Corrèze le département envisage de salarier des vétérinaires, comme beaucoup d'organisations de producteurs l'ont fait.
Il faut donc permettre à des techniciens de réaliser certains actes, comme cela s'est fait pendant l'épizootie de grippe aviaire. Pendant l'épidémie de covid, on a autorisé pharmaciens et infirmières à procéder à des vaccinations – c'était une bonne mesure. Des techniciens et techniciens supérieurs pourraient se charger d'actes du même ordre, permettant aux vétérinaires de se concentrer sur les actes médicaux à forte technicité.