…mais ce sont des actes qu'il faut écarter par avance d'une éventuelle liste révisée, parce qu'on entrerait dans le registre des incertitudes – l'éleveur commencerait la césarienne et, au milieu de la nuit, appellerait le vétérinaire si cela se passe mal… Cela ne peut pas fonctionner ainsi. Je le répète : c'est un équilibre global. Sinon, on entre dans une logique qui amènerait à déléguer des actes qui me paraissent trop risqués pour les animaux d'abord, mais aussi pour les éleveurs eux-mêmes. Je ne dis pas que la porte est définitivement fermée, mais je tiens au maintien de l'équilibre actuel, qui est déjà ténu. L'avis est donc défavorable.