Je partage les préoccupations de M. Pradié : les petits vignobles comme l'Irouléguy ou le Jurançon subissent eux aussi les aléas climatiques, qu'il s'agisse du gel, de la grêle, du mildiou. Ces filières d'exception s'en trouvent d'autant plus fragilisées qu'elles sont de taille modeste et n'ont pas les reins assez solides pour surmonter l'accumulation de difficultés. J'espère que les petits vignobles du territoire recevront la même attention que celui de M. Pradié.