Pour lever la grande confusion qui règne autour de cet article, monsieur le ministre, j'en rappelle l'intention initiale : vous avez considéré qu'il fallait, pour faire monter en compétence les agriculteurs, ajouter une année d'études. Je tenterai de vous convaincre que ce n'est pas nécessairement la quantité qui fait le niveau, mais la qualité. J'ai passé un BTSA dont le programme était plombé par des modules sur les panneaux photovoltaïques ou sur l'utilisation de l'huile de colza comme carburant. Je me souviens qu'un exposé sur l'alimentation et la faim dans le monde m'a pris des semaines.