Nous sommes face à des personnes qui ne se comprennent plus, qui ne comprennent pas.
Pour rappel, les mouvements indépendantistes kanak et tahitien sont nés en même temps et partagent le même combat : l'indépendance de leur peuple. Dès lors, il paraîtrait approprié d'intégrer des leaders indépendantistes polynésiens dans la nouvelle mission de dialogue, en qualité de médiateurs pour la paix. Le Premier ministre est resté évasif à ce sujet. Je réitère donc ma question : le Gouvernement envisage-t-il d'intégrer Moetai Brotherson, le président de la Polynésie française, à la mission de dialogue prochainement dépêchée en Kanaky ?