Je comprends parfaitement M. Peytavie. Incontestablement, le sujet du traitement personnel est important. Mais, dans la mesure où le texte concerne des personnes en fin de vie, il s'adresse intrinsèquement à des personnes touchées par la perte de leur autonomie, qu'elles aient été ou non en situation de handicap auparavant. Il est donc déjà adapté.