Je suis d'accord avec la proposition d'inscrire dans la loi l'obligation pour le Gouvernement d'élaborer une stratégie décennale de développement des soins d'accompagnement et de la transmettre au Parlement.
Celle que vous avez présentée comprend une trajectoire financière en annexe. Encore une fois, je regrette que l'on n'ait pas choisi de rédiger cette stratégie avec le Parlement et de lui faire voter la programmation financière. Je sais bien que sous la Ve République le Gouvernement a tous les pouvoirs, mais sur un tel sujet il aurait été utile de s'inscrire dans une logique de coconstruction.