Je partage, en partie, ce qui vient d'être dit. Les soins d'accompagnement sont absolument nécessaires pour tous et toutes, quelle que soit la situation. Il y a des possibilités d'hospitalisation sous surveillance, ainsi que, comme cela a été rappelé, des possibilités d'élargissement lorsque la maladie est évoluée. Heureusement, je crois que très peu de détenus décèdent de maladie en prison.