Vous disiez cet après-midi que nous n'en faisons pas assez et que certains territoires n'ont pas accès à l'accompagnement ; à présent, vous dites que nous en faisons trop. Il faut trouver un équilibre par des soins d'accompagnement qui satisfont les attentes des patients. Ce sont des potentialités de réponse, sans aucune obligation. L'idée est d'équiper notre pays et que chaque patient puisse être accompagné selon ses besoins, en fonction de l'évolution de sa maladie, ni plus, ni moins.