Il convient de souligner le caractère évolutif de l'accompagnement : si le patient va mieux – c'est la meilleure chose que l'on peut espérer –, le plan d'accompagnement s'arrête. On ne peut pas refuser d'accompagner une personne dès le diagnostic sous le prétexte que celle-ci guérira. L'idée est d'accompagner en fonction de l'évolution de la pathologie du patient.