En réponse à la question de madame Maillart-Méhaignerie sur l'opportunité de mentionner les pathologies, je pense qu'il ne faut pas restreindre la réflexion aux affections les plus couramment citées – certains cancers, des maladies neurodégénératives et des insuffisances cardiaques ou respiratoires graves. De nombreuses autres affections correspondent à l'exigence d'une maladie incurable et d'un pronostic vital engagé à moyen terme. Il serait préjudiciable que des pathologies soient éliminées par une formulation rigoriste alors qu'elles répondent aux critères de l'article 6 du projet de loi.