Craignez-vous que les nouvelles dispositions légales et les transformations profondes qu'elles supposent pour le médecin entraînent une désaffection pour ce métier ? Si un médecin qui refuse de prescrire ou d'administrer la mort parce qu'il considère que l'euthanasie n'est pas un soin et que ces actes ne correspondent pas à ses valeurs, dans quelle mesure serait-il tenu d'orienter le patient vers un autre médecin ?