L'article 5 précise que l'aide à mourir n'engage pas la responsabilité pénale de celui qui la pratique, conformément à l'article 122-4 du code pénal. Pensez-vous, docteur Arnault, qu'un texte alternatif au serment d'Hippocrate, qui comporte l'engagement à ne jamais provoquer la mort délibérément, sera nécessaire aux prochaines générations de médecins ?