Ce transfert facultatif est particulièrement important pour les zones de montagne en tant qu'il permet à leurs élus d'adapter la gestion de l'eau et de l'assainissement aux spécificités de leurs territoires. Des adaptations ont été prévues dans les lois du 3 août 2018 et du 27 décembre 2019 mais elles sont difficilement applicables à des terrains escarpés où l'habitat est dispersé, contraints par la longueur des réseaux, le gel et les mouvements de terrain.