Il y a un équilibre à trouver et vous n'avez pas semblé le chercher jusqu'à présent.
Si nous continuons dans la voie que vous proposez, la France ne produira plus rien et devra tout importer – ce qui n'est pas pour vous déplaire puisque, à vos yeux, la souveraineté alimentaire s'inscrit dans un cadre international. Et les produits importés ne respecteront aucune des normes environnementales que vous infligez à nos agriculteurs. Voilà le résultat de la politique que vous défendez. Allez l'expliquer à la filière sucrière ou à d'autres qui, loin des utopies de la gauche, sont aujourd'hui dans une impasse technique, incapables d'assurer leur production.