Il règne une ambiance particulière. L'enjeu est de donner envie aux jeunes qui sont en formation de reprendre des exploitations malgré les contraintes. Aujourd'hui, lorsqu'ils s'installent, ils s'orientent plus vers la production végétale que vers l'élevage. Les filières bovine et ovine sont disposées à prendre en considération les évolutions du marché à l'échelle internationale, notamment le besoin en protéines animales, mais encore faut-il que l'on nous donne des perspectives et que l'on construise une dynamique. Sans cela, rien ne se fera.