Cela pourrait effectivement poser un problème, mais nous espérons que nos dirigeants feront preuve de courage politique. À un moment, il faut se donner les moyens de protéger nos agriculteurs ! Du reste, des clauses de sauvegarde existent déjà, bien qu'elles ne soient pas activées. Peut-être pourrait-on commencer par là, avant de réfléchir, par la suite, à l'instauration de prix d'entrée minimum.