Nous avons déjà évoqué la recommandation de notre rapport concernant la mobilisation de l'industrie créative. Parmi les axes de travail, l'un vise à comprendre pourquoi les superproductions sur des sujets français sont aujourd'hui, internationalisées. Dans ce cadre, la fédération et des associations de jeunes ont toutes un rôle à jouer. Aujourd'hui, nous évoluons dans une forme d'entre-soi, puisque la plupart des étudiants appartiennent à des filières de géopolitique, de sciences politiques, de droit de la sécurité et de la défense. C'est pourquoi nous avons décidé d'élargir notre action pour toucher, par exemple, les profils d'ingénieurs et les filières dites techniques, à travers des partenariats, dont un avec l'Union nationale des grandes écoles indépendantes. Il convient également de nous rapprocher des filières créatives et des étudiants qui seront les acteurs des superproductions de films relatifs au secteur de la défense.
Ensuite, dans la partie du rapport dédiée à l'éducation et à la culture, nous avons eu l'opportunité de questionner la place de la défense globale. La hausse du nombre de professeurs et d'enseignants contractuels pose la question de la transmission et du suivi des mallettes pédagogiques.
Enfin, je me joins à Nicolas Henry pour vous remercier de l'attention sincèrement portée à la fédération Atlas et aux Jeunes IHEDN et, plus largement, à la place de la jeunesse. En effet, comme nous l'indiquons dans le rapport, « construire la défense de demain nécessite d'écouter la jeunesse engagée aujourd'hui ».