Monsieur le ministre, vous avez dit tout à l'heure que tout le monde avait compris d'où je venais. Eh bien, là d'où je viens, on est têtu et quand on se sent trahi, on va jusqu'au bout. Nous avons pour coutume de dire Hitza hitz, c'est-à-dire : « La parole, c'est la parole » – et la parole d'un Basque ou d'un Béarnais, ça se respecte.