Puisque nous avons été interpellés, je me permets de réagir. L'un de nos sous-amendements discutés hier, n° 5080, visait à s'assurer que 100 % des viandes servies dans les cantines proviennent d'animaux élevés en France. Nous n'avions même pas écrit « bio », nous contentant de proposer que les viandes soient françaises.