Voilà, il faut travailler sur la génétique et l'alimentation. Une alimentation à base d'algues, par exemple, réduit les rejets de 15 % à 30 % – ayant une vieille base scientifique, je reste prudent en donnant une fourchette. Une partie de l'équation est là.
Par ailleurs – nous aurons l'occasion d'en parler en examinant les articles ultérieurs –, l'élevage extensif, la présence de prairies et de haies participent au stockage de carbone. Il faut donc nuancer le propos – M. Armand n'a pas dit autre chose.