Le problème était non pas les vocations – j'ai moi-même été tenté, même si j'ai mal fini ! –, mais le nombre de places et d'établissements, la sélection étant beaucoup trop drastique. Aujourd'hui, 50 % des vétérinaires exerçant en France ont été formés à l'étranger. C'est pourquoi nous sommes en train d'augmenter le nombre de vétérinaires formés en France de plus de 75 %. Ce ne sont plus les places qui manquent : nous en avons ouvert. À défaut d'un retrait, l'avis serait défavorable.