Il vise à préciser que l'effort en matière de recherche publique et privée portera sur des solutions fondées sur la nature, qui constituent de véritables solutions de remplacement des pesticides. L'enjeu de l'agriculture de demain, c'est de travailler avec le vivant, avec les particularités du milieu environnant et avec les ressources naturelles qui sont valorisables.
Mon collègue Bertrand Petit, qui est à l'origine de cet amendement, cite l'exemple des zones humides, qui peuvent être valorisées et dont les services écosystémiques non seulement sont importants du point de vue productif, mais contribuent aussi à l'atténuation du changement climatique.