Il vise à spécifier que l'effort à amplifier concerne l'innovation publique. En effet, la recherche conduite au sein d'organismes publics comme l'Institut national de recherche pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (Inrae) ou les différents laboratoires universitaires tend davantage à servir l'intérêt général que celle que mènent des multinationales comme Bayer ou Monsanto.
Je profite de l'occasion pour souligner que nous ne consacrons malheureusement que 2 % du PIB à la recherche et au développement, ce qui correspond à peine à la moyenne européenne, alors que nous nous sommes fixé un objectif de 3 % – qui n'a jamais été atteint. Un jour peut-être…