J'ai souhaité la création de ce groupe de travail, car la transition écologique et la sobriété énergétique sont au cœur des préoccupations de nos concitoyens. Puisque nous avons l'honneur de les représenter, l'Assemblée nationale se doit d'être exemplaire et exigeante en la matière.
Le groupe est transpartisan. C'est à la fois le reflet de l'importance que nous attachons au travail collectif et de la nécessité d'agir ensemble au nom de l'institution à laquelle nous appartenons.
Le groupe a vocation à travailler sur la durée de la législature. Son rôle ne se limite pas à la production d'un rapport ; pendant cinq ans, il devra notamment assurer le suivi des recommandations qu'il aura émises afin de réorienter si besoin notre action.
Chaque groupe politique est représenté. Compte tenu de ses attributions, une place particulière a été faite à la commission du développement durable dans la composition du groupe de travail.
Enfin, il me semblait pertinent d'associer étroitement le collège des questeurs à nos travaux puisque la plupart des sujets liés à la transition écologique ont un impact financier. Or dans ce domaine, à l'Assemblée nationale, la décision appartient aux questeurs. Mme Marie Guévenoux, première questeure, sera co-apporteure du groupe de travail pour la majorité, afin de garantir la bonne articulation entre nos travaux et les décisions du collège des questeurs.
Nous devons désigner un co-rapporteur d'opposition.
Je suis saisie des candidatures de Mme Lisa Belluco pour le groupe Écolo-NUPES, M. Aymeric Caron pour le groupe de La France insoumise-NUPES, M. Gérard Leseul pour le groupe Socialistes et apparentés et Mme Alexandra Masson pour le groupe Rassemblement national.