Il vise à établir une planification, notamment pour les filières alimentaires déficitaires dans notre pays. Nous devons en effet inciter les agriculteurs qui s'installent, par le revenu et par les aides, à s'orienter vers les filières déficitaires. Les aliments importés ont doublé depuis les années 2000, de sorte que 20 % de notre alimentation et en particulier 71 % des fruits sont actuellement importés. Le besoin de planification est donc réel. Seules les aides publiques peuvent la réaliser en dirigeant les installations et en incitant les agriculteurs à s'engager dans les filières déficitaires.