Je pense que c'est quelque chose dont nous pouvons être fiers.
Pour le reste, un certain nombre d'interventions portaient non sur l'exécution de l'année 2021, mais sur l'année 2022, voire sur l'année 2023 et les années suivantes. En ce qui concerne 2022, nous aurons l'occasion d'en parler lors du débat sur le projet de loi de finances rectificative, actuellement examiné en commission ; quant à l'année 2023, nous l'aborderons avec l'examen du projet de loi de finances et, dès le mois de septembre, avec l'examen du projet de loi de programmation des finances publiques. Je ne doute pas que nos débats seront nourris et fructueux.