Par le passé, la gestion par le Premier ministre favorisait au contraire une approche susceptible de rassembler tout le monde et d'aboutir à des accords. Cela soulève la question du dialogue et de la confiance.
Je reviens sur ce qu'a dit mon collègue Lachaud de façon très claire. Vous ne pouvez pas nous dire à la fois qu'il faut voter vite et conforme et que vous ne convoquerez pas le Congrès : il y a là au mieux une incohérence, au pire une hypocrisie.