ceux qui, depuis quarante-huit heures, subissent violences et exactions, ceux dont l'entreprise ou la maison a été brûlée, et qui ont parfois été eux-mêmes blessés. Tous ceux-là nous demandent de tenir bon malgré tout, pour la démocratie en Nouvelle-Calédonie ! Et même s'il ne doit pas être facile pour eux de voir tout ce qu'ils ont construit être détruit en quarante-huit heures, ils font le dos rond, et continuent de demander à la représentation nationale de leur redonner le pouvoir de voter en Nouvelle-Calédonie. En ce moment, on reçoit beaucoup de messages de soutien de ces Calédoniens qui subissent la situation, et je voudrais qu'on pense à eux aussi, parce qu'on les oublie trop souvent. Tout ce qu'ils veulent, c'est pouvoir voter à nouveau.