C'est pourtant ce que vous essayez de faire aujourd'hui, ce qui entraîne immanquablement une crispation, des tensions et des violences.
Monsieur le ministre, vous avez dit lors des questions au Gouvernement que vous souhaitiez le retour à la paix civile. Si tel est vraiment le cas, commencez par retirer ce texte et donnez le pouvoir aux négociateurs en vue d'aboutir à un accord global, qui est à portée de main. Ensuite, vous pourrez revenir devant nous pour que nous consacrions cet accord en l'inscrivant dans la Constitution.