Oui, il y a eu des ombres et des lumières, personne ne le nie. C'est ce qui fonde même une partie de nos débats et de nos interventions depuis vingt-six à trente ans. Personne ne le conteste aujourd'hui. Nous sommes à la fin d'un processus, l'application du titre XIII de la Constitution arrivant à son terme. Cela ne veut pas dire pour autant que la méthode elle-même doit changer. Il faut encore avancer.
Quand vous dites, madame Obono, que la France nie ce processus républicain et, d'une certaine façon, s'assoit sur la démocratie, c'est faux.