Je ne comprends donc pas ce que vous avez voulu dire en opposant le droit du sol là-bas et le droit du sol ici.
Ce que nous expliquons depuis le début, c'est que les Calédoniens ont accepté qu'il y ait eu des victimes de l'histoire et qu'ils sont d'accord pour partager un destin commun – mais construit par eux, par le dialogue. Nous n'allons pas décider de la citoyenneté calédonienne en disant que c'est dix ans, point. Il faut un code de la citoyenneté défini par les Calédoniens.
M. Millienne s'interrogeait sur ce qu'on ferait si dans un an et demi aucun accord n'était trouvé. C'est une bonne question.