Nous appuyons cet amendement, qui montre qu'il y a matière à discuter et à faire des compromis. C'est l'attitude du Gouvernement, la volonté de passer en force et, surtout, l'alignement sur l'une des parties, qui empêchent d'aboutir. Dans ces conditions, l'Assemblée nationale et la Constitution ne servent qu'à tordre le bras aux parties dans la négociation. Cela devrait interpeller une partie de nos collègues.
Toutes les personnes qui nous écoutent ne se rendent peut-être pas compte de ce qu'il s'agit. Je ne voudrais pas que l'on croie qu'il y aurait, d'un côté, les Kanaks xénophobes ou que sais-je et, de l'autre, les universalistes, les grands démocrates.