Je vous écoute quand vous parlez, alors prenez la parole démocratiquement.
Monsieur Castor, personne ne nie la colonisation ni la nécessité de reconnaître les drames qui lui sont liés. Nous l'avons même inscrit dans la Constitution. Ce projet de loi constitutionnel ne prévoit pas d'y revenir. Personne ne doute un seul instant que les Kanaks ont été touchés par cette colonisation dans leur chair, le nombril dans la terre, comme vous le dites.