C'est bien la preuve, comme l'a très justement expliqué M. le rapporteur, que nous nous sommes alignés sur les demandes indépendantistes d'une durée de dix ans, et pas sur les demandes loyalistes de zéro ou de trois ans. Mais qu'à cela ne tienne, monsieur Delaporte : vous auriez pu déposer un amendement universaliste, comme y invitait M. Guedj, qui consistait à instaurer le suffrage universel direct en Nouvelle-Calédonie, ce qui, effectivement, aurait été une disposition intéressante pour les citoyens français de Nouvelle-Calédonie.