Or vous savez très bien que le Conseil d'État annulera alors les élections, son avis ne laisse pas de doute sur ce point. Si on suit votre raisonnement, tout le monde, sauf la NUPES, a tort, qu'il s'agisse des principes du droit international et des principes constitutionnels, ou encore des avis du Conseil d'État et du Conseil constitutionnel, lorsque nous proposons que des citoyens calédoniens puissent voter aux élections provinciales.