Si vous demandez la parole, je suis sûr que la présidente vous l'accordera.
Nous, après trois ans de discussions avec les parties, nous prenons nos responsabilités parce que nous sommes au mois de mai et que c'est ce mois-ci qu'auraient dû se tenir les élections provinciales. Eh oui, les élections devraient se tenir en ce moment même en Nouvelle-Calédonie. Nous n'avons donc pas de jours supplémentaires disponibles permettant de remettre à plus tard le vote de ce texte. Nous proposons le report des élections pour laisser le soin aux parties d'aboutir enfin à un accord mais, pour vous, pas d'élections sans accord préalable, ou alors des élections qui excluent 25 % des citoyens calédoniens.