D'un côté de l'hémicycle, on agite les peurs ; de l'autre, on considère que le pacte européen n'aurait jamais dû être signé et que nous traitons de manière inhumaine les migrants qui souhaitent rejoindre notre pays.
La vérité, c'est que, pour parvenir à réguler les flux migratoires, comme le prévoient le pacte européen et la loi sur l'immigration que nous avons défendue en décembre, nous devrons faire preuve de beaucoup d'humanité tout en assurant un contrôle important et en mettant en place une forte solidarité au niveau européen.