Depuis 2017, nous avons augmenté le nombre de places de rétention de 25 %, pour disposer aujourd'hui de 2 000 places destinées à l'éloignement des étrangers fauteurs de troubles à l'ordre public, radicalisés, ou délinquants. Car nous n'avons pas attendu l'adoption du pacte sur la migration et l'asile pour agir au niveau national.