Dans un contexte économique où la formation et l'intégration professionnelle doivent être une priorité pour favoriser le travail, cette suppression est un mauvais signal envoyé à notre industrie et à notre agriculture qui cherchent de la main d'œuvre, ainsi qu'à nos jeunes qui veulent se former à des métiers en tension, notamment dans le Jura.
Monsieur le Premier ministre, ma question est simple : que comptez-vous faire pour soutenir et développer les filières d'alternance et de professionnalisation, pour enfin remettre la valeur travail au cœur de notre société ?