Rafah, ultime refuge de 1,2 million d'êtres humains innocents, parmi lesquels 600 000 enfants, qui font face, en ce moment même, à l'abîme, à la mort, en raison de l'inaction complice, voire coupable, de celles et ceux qui n'auront plus jamais l'âme tranquille.
On ne fait pas la guerre pour se débarrasser de la guerre, monsieur le Premier ministre.