L'an dernier, les fonds levés par les start-up françaises ont représenté un montant cumulé supérieur à celui de leurs homologues allemandes ou de nos principaux voisins européens.
Je ne dis évidemment pas que tout va bien dans le meilleur des mondes : je suis lucide, nous avons encore des difficultés, mais la tendance est la bonne, ce que nous devons, j'en suis convaincu, au cadre fiscal et économique créé par cette majorité depuis 2017– un cadre propice à l'activité économique. Dans quelques jours se tiendra le sommet Choose France, comme chaque année ; des investisseurs internationaux y annonceront de très grands projets d'investissement, ce dont nous devons nous réjouir. Grâce à cette dynamique, le taux de chômage est aujourd'hui le plus bas depuis vingt-cinq ans. Près de 2,5 millions d'emplois ont été créés depuis 2017.
Certaines entreprises restent cependant en difficulté et nous les suivons de près, au cas par cas. Il y a, bien sûr, celui d'Atos, entreprise pour laquelle le Gouvernement a tracé des perspectives afin de garantir que ses activités stratégiques restent sous pavillon français. Quant à Biogaran, la situation est suivie au jour le jour par le ministre délégué chargé de l'industrie et de l'énergie, Roland Lescure. Nous imposerons des conditions drastiques pour assurer l'avenir de l'entreprise,…