Alors parlons-en ! Et, pour commencer, parlons d'Atos – 100 000 salariés, champion national du numérique au niveau européen, conçu pour assurer l'indépendance de la France en matière de calcul de haute intensité. Il y a six mois, je vous ai invités à nationaliser temporairement cette entreprise pour éviter un naufrage. À l'époque, cela m'a valu les railleries de vos ministres.