Madame Maillart-Méhaignerie, j'estime que la question de l'euphémisme constitue une véritable question politique avant d'être rhétorique. Le débat doit être clair. Or, partout ailleurs dans le monde, il est question d'euthanasie et de suicide assisté. Proposer une solution qui n'est pas clairement définie, introduire une confusion entre l'aide active à mourir qui va du côté de la mort et l'aide active à mourir qui porte sur le soin palliatif me semble être effectivement une tromperie dans le cas de malades en fin de vie.