Monsieur Odoul, vous avez raison : réduire une personne à son patronyme ou interdire à des parents de donner à leurs enfants le prénom de leur choix, ce n'est pas à la hauteur ; ce n'est du niveau ni des parlementaires, ni de l'Assemblée nationale, ni de la France et des Français. Toutefois, il est parfois nécessaire de rappeler certaines choses. Vous avez indiqué que je m'exprimais très bien en français – merci. Lorsque j'ai été nommée ministre de la culture, certains ont même mis en doute ma capacité à lire ! Si l'on arrêtait de nous tirer vers le bas, nous n'aurions pas besoin de rappeler que nous sommes pleinement français.