« La francophonie peut être un instrument de notre libération », disait Thomas Sankara. Ce concept a longtemps été ambivalent, utilisé soit dans le cadre d'un projet universaliste, soit comme un instrument de domination au service du pouvoir. Nous défendons aujourd'hui une francophonie des peuples, afin de construire un espace culturel de créolisation et une véritable communauté politique francophone.