Cela signifie aussi aider activement les États exsangues de la région qui n'arrivent pas à se relever des dégâts causés par les puissances occidentales et aspirent à se reconstruire.
Honorer les victimes des actes de barbarie d'hier, c'est œuvrer à construire la paix d'aujourd'hui, pour que de telles horreurs ne se reproduisent plus jamais. Si les lois mémorielles ne peuvent suffire à réparer les maux, elles sont et doivent être des leviers d'espérance et d'action. Vous l'avez compris, nous soutiendrons la proposition de résolution. Nous espérons que son adoption, intervenant après un vote analogue du Sénat, déclenchera une reconnaissance internationale du génocide des Assyro-Chaldéens.