Monsieur le président Coquerel, vous dites que la dette est un épouvantail qui servirait à justifier un programme de réforme auquel vous ne souscrivez pas. Non : la dette, c'est très concret. En 2023, la charge des intérêts de la dette s'élevait à 46 milliards, autant d'argent qui ne peut être utilisé pour investir dans les écoles, les services publics ou la transition écologique.