Subir serait considérer que l'endettement est une fatalité. Le président Éric Coquerel a beau dire que la dette est « un épouvantail » et qu'elle ne serait, après tout, pas si préjudiciable que cela pour le pays, il demeure que la charge d'intérêt de la dette représentera la première dépense budgétaire du pays dans quelques années.
Subir serait considérer qu'il faut sacrifier la souveraineté budgétaire de notre pays à nos créanciers. C'est finalement ce à quoi mènent les programmes marxistes du Rassemblement national et de l'extrême gauche…