Ce texte marquera notre législature et ne peut donc être l'occasion de faire de la communication ou de l'électoralisme. Vous n'avez pas répondu à la question de Julien Odoul : pourquoi le faire passer en séance quelques jours avant le scrutin pour les élections européennes ? Vous n'avez pas non plus répondu à la question de Christophe Bentz sur les implications financières de la pratique de l'euthanasie face aux soins palliatifs. Nous avons besoin que vous répondiez à nos questions : c'est pour cela que vous êtes face à l'Assemblée nationale.